Grosse plume que j'aime si fort que je ne voudrais pas qu'elle s'envole
Par Antoine le mercredi 3 août 2011, 10:28 - Lien permanent
Quand bien même il aurait été dit toutes ces choses extraordinaires sur toi et les milliers de bonheurs extravagants disséminés au gré de tes humeurs baladeuses, il faudra encore une immensité dorée à souhait de toutes les syntaxes évanescentes décuplé d'octaves harmoniques pour encore nous convaincre que nous ne pourrons plus profiter de cette lueur enchanteresse qui émanait sans cesse du bout de tes extrémités
Commentaires
une autre poétique manière de dire le vide intersidéral et douloureux où nous a mis cette absolue disparition.