Chers tous, me trouvant fort interloqué devant cette image, j'aimerais que chacun prenne un instant pour essayer de décripter cette abstraction mystérieuse sortie des sinuosités psychonarcosomatique d'un californien allongé dans son living vide.
2.
Le vendredi 1 décembre 2006, 01:30 par Matthieu
Living vide ou sa caille velu, mon cher.
Rien de bien mysterieux. Je consigne quelques petites images a caractere iconique,...
Ces jours ci le Vietnam m'a fait signe et Dennis Hopper, le photo-rep halluciné d'apocalypse now, trainait en couverture de la revue RangeFinder que l'associations des photographes etats-uniens m'envoie regulierement a titre gracieux.
Ah, rien de mystérieux, tout à fait normal. Hé ho là faudrait pas me prendre pour un jambon de Bayonne braisé ! Tiens, j'ai revu un bout d'Apocalyse sur la TV ricaine l'autre jour et figure toi qu'ils changent certaines paroles pour ne pas brusquer les enfants qu'ils élèvent à coup d'armes à feu. C'est du beau. Par exemple, dans la scène de l'hélico quand le mec met son casque sous ses roubignoles et bien il dit “fesses” au lieu de “couilles”. De vrais gamins j'te dis.
4.
Le vendredi 1 décembre 2006, 06:17 par matthieu
Commentaires
Chers tous, me trouvant fort interloqué devant cette image, j'aimerais que chacun prenne un instant pour essayer de décripter cette abstraction mystérieuse sortie des sinuosités psychonarcosomatique d'un californien allongé dans son living vide.
Living vide ou sa caille velu, mon cher.
Rien de bien mysterieux. Je consigne quelques petites images a caractere iconique,...
Ces jours ci le Vietnam m'a fait signe et Dennis Hopper, le photo-rep halluciné d'apocalypse now, trainait en couverture de la revue RangeFinder que l'associations des photographes etats-uniens m'envoie regulierement a titre gracieux.
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Ah, rien de mystérieux, tout à fait normal. Hé ho là faudrait pas me prendre pour un jambon de Bayonne braisé ! Tiens, j'ai revu un bout d'Apocalyse sur la TV ricaine l'autre jour et figure toi qu'ils changent certaines paroles pour ne pas brusquer les enfants qu'ils élèvent à coup d'armes à feu. C'est du beau. Par exemple, dans la scène de l'hélico quand le mec met son casque sous ses roubignoles et bien il dit “fesses” au lieu de “couilles”. De vrais gamins j'te dis.
de vrais momes oui
un peu pourris gatés aussi